

Votre média sur l'Asie
Face à l'amplification de la pandémie de coronavirus, le Japon est forcé de durcir sa stratégie de lutte contre le Covid-19. Les Jeux Olympiques de de Tokyo prévus en 2020 sont reportés à l'été 2021. Les ressortissants de 18 pays européens et d'Iran sont désormais interdit d'entrée dans l'archipel. Quelle a été jusq'à présent la stratégie du Japon, où l'épidémie a été contenue ?
En Malaisie, le nouveau gouvernement est accusé par l'opposition de ne pas avoir su gérer l'épidémie de coronavirus dès lors qu'il a accédé au pouvoir.
Alors qu'en France le confinement s'organise pour lutter contre la propagation du coronavirus, à Wuhan, en Chine, la population vit déjà depuis deux mois en quarantaine. Un confinement soumis à des règles bien plus strictes que dans l'hexagone.
Le cinéma sud-coréen est lourdement affecté par l'épidémie de coronavirus. Les grands gagnants sont les télévisions en ligne à la carte. Mais les grands distributeurs n'ont pas dit leur dernier mot.
Taïwan, souvent présentée comme modèle dans la gestion de l'épidémie de coronavirus, doit désormais faire face au retour de ses ressortissants ayant séjourné dans des pays à risque. Quels enseignements tirer de l’expérience taïwanaise sur le plan national comme international ?
L'accalmie aura été de courte de durée. La crise du coronavirus a rallumé les tensions entre la Chine et les États-Unis. La guerre commerciale a laissé la place à une guerre de l'information. Ou plutôt de la désinformation. Sur fond d'expulsions mutuelles de journalistes, Pékin et Washington se laissent entraîner dans une escalade de représailles. Furieux que la Chine laisse entendre que l'armée américaine aurait pu introduire le Covid-19 à Wuhan, Donald Trump et son administration parlent désormais de "virus chinois".
Alors qu'elle était l'un des premiers pays touchés, la Corée du Sud enregistre depuis quelques jours de moins en moins de personnes contaminées au Covid-19 sur son territoire.
Alors que l’épidémie du COVID-19 explose en Europe et dans le monde, la Chine paraît proche d’une sortie de crise. Mais certains doutes subsistent encore. Cependant, l'expérience chinoise pourrait nous être utile.
Le coronavirus est-il une nouvelle "pandémie de la peur" ? Pour comprendre ce qui nous arrive, de Wuhan à Paris, il faut considérer un acteur central de cette crise sanitaire internationale : la rumeur. En Chine, elle peut servir de vecteur de la colère contre le verrouillage de l'information officielle dans les villes en quarantaine. À l'étranger et en France en particulier, elle nourrit aussi un racisme anti-asiatique déjà sous-jacent au quotidien.
Comment analyser la gestion de l'épidémie de coronavirus par Pékin ? Pour certains, elle est meilleure que celle du SRAS en 2003. Pourtant, à plusieurs titres, elle est loin d'être entièrement satisfaisante : les faux pas se sont multipliés, rendant les projections et les décomptes très difficiles.
Le 9 octobre dernier s'ouvrait la conférence internationale du Fonds mondial contre le paludisme, le sida et la tuberculose. On le sait peu, mais c'est aujourd’hui cette dernière qui tue le plus dans le monde. Alors qu'elle concentre 27 % des malades, l'Inde fait face à un phénomène aggravant : la bactérie a muté et résiste aux antibiotiques. Enquête au cœur de cette nouvelle menace à Bombay.
Cette infection sexuellement transmissible ne s’est jamais développée aussi vite au Japon depuis 1989.