

Votre média sur l'Asie
Il a remporté la présidentielle sud-coréenne d’un souffle à l’issue d’une campagne irrespirable - et pas seulement en raison de son déroulement sur fond de records de cas de Covid-19. Le novice en politique Yoon Seok-youl aura bien du mal à ressouder un pays profondément divisé.
Déjà dix ans qu'il tient les rênes du pays. Après des rendez-vous ratés avec Donald Trump, que fera Kim Jong-un à l'approche des Jeux olympiques d'hiver à Pékin en février puis de la présidentielle sud-coréenne le 9 mars prochain ? Adoptera-t-il une attitude belliqueuse ou conciliante avec l'administration Biden ? Une décennie de règne du jeune dictateur n'a pas éclairci tous les mystères qui entourent sa personnalité.
Joe Biden vient de clore une séquence qui, sans surprise, exaspère la Chine. En quelques jours, il a envoyé un proche conseiller assurer la présidente taïwanaise du soutien des États-Unis, et il a reçu le Premier ministre japonais à Washington pour réaffirmer avec lui "l'importance de la paix et de la stabilité dans le détroit de Taïwan". Pour le moment, le successeur de Donald Trump se garde de tracer la ligne rouge : la défense militaire automatique de Taïwan en cas d'invasion chinoise.
Séoul a rapporté ce 28 mai 79 nouveaux cas de coronavirus en une journée. Le gouvernement de Moon Jae-in, dont la réponse à la pandémie a été ces derniers mois érigée en modèle d'efficacité, a immédiatement rétabli pour deux semaines des restrictions récemment levées. Au-delà de l'usage massifs des tests, des masques et du traçage numérique, plutôt que du confinement contraint, c'est à travers la culture politique et les relations public-privé en Corée du Sud que s'explique le mieux la lutte de Séoul contre la pandémie.
Quatre décennies ont passé depuis que les soldats sud-croéens ont tiré sur les manifestants à Gwangju. Comme chaque année, cette mégapole du sud-ouest de la péninsule coréenne célèbre le souvenir des victimes. La répression du soulèvement de la jeunesse contre la dictature a fait l'objet de nombreuses enquêtes. Mais depuis 40 ans, des questions restent en suspens. Qui a donné l'ordre d'ouvrir le feu sur les manifestants ? Où sont les restes des disparus ? Entretien Avec Lee Jae-eui, ancien manifestant à Gwangju, et conseiller à la Fondation du Mémorial du 18 mai.
Après trois semaines d'absence, Kim Jong-un a inauguré, souriant et visiblement bien portant, une usine d'engrais ce vendredi 1er mai. Jusque-là, son état de santé avait alimenté toutes les rumeurs. Entretien avec Antoine Bondaz, chercheur à la Fondation pour la Recherche Stratégique.
Shinzo Abe se met à imiter Trump avec sa récente décision de limiter certaines exportations nippones vers la Corée du Sud. Une question de "sécurité nationale" pour le Premier ministre nippon.
La péninsule bleue sur fond blanc a non seulement refleuri sur les drapeaux des équipes unifiées des deux Corées lors des jeux d'hiver de Pyeongchang, elle est désormais déclinée en pin's et en autocollants lors de manifestations invitant le dirigeant nord-coréen à se rendre au Sud. Explication d'images.
Le jeudi 6 décembre à 19h, Asialyst vous recommande cette rencontre à Paris avec Kim Ki-jung, proche conseiller du président sud-coréen Moon Jae-in. Il partagera ses vue sur la crise coréenne, les liens entre l'Europe et la Corée du Sud et sur le fonctionnement de la politique à Séoul.
L'ASEAN est souvent perçue comme une région qui ferme les yeux sur le réseau financier illégal de Pyongyang et sur ses activités en matière prolifération balistique et nucléaire. Le rapprochement intercoréen offre à l'Association une occasion de changer cette image. Et de se renforcer.
Depuis le 11 novembre, ce sont près de 200 tonnes de mandarines sud-coréennes qui ont été livrées à Pyongyang via un pont aérien destiné à renforcer l’amitié retrouvée entre les deux Corées. Un échange de bonnes intentions après les deux tonnes de champignons des pins envoyés par le Nord à Séoul en septembre dernier.
Après sa visite pleine de symbole à Pyongyang, Moon Jae-in peut-il réussir son pari en se posant comme l'intermédiaire décisif entre Kim et Trump ? C'est tout l'enjeu de sa "diplomatie du clair de lune", la "Moonshine diplomacy".
Pour leur troisième sommet en moins de 6 mois, Kim Jong-un et Moon Jae-in se rencontreront du 18 au 20 septembre à Pyongyang. Le dictateur nord-coréen s'est redit "en faveur de la dénucléarisation de la péninsule". Mais avec l'Administration Trump, les négociations patinent avec l'administration Trump.
Déshonneur de l'Amérique ou apaisement bienvenu ? Le sommet "historique" de Singapour entre Trump et Kim laisse maintenant la place à des négociations incertaines.
S'il a lieu, il ne faut pas trop attendre du "sommet historique" entre le président américain et le leader nord-coréen, prévu, annulé et reconduit à Singapour.
Plus d'une semaine après le sommet intercoréen de Panmunjom, que penser de la stratégie de Kim Jong-un ? Volte-face ou tactique bien pensée ?
Grâce à leur président, les Sud-Coréens ont le sentiment de reprendre enfin leur place dans les négociations avec la Corée du Nord, dont ils ont été longtemps exclus.
Au travers de sa diplomatie du dialogue avec Pyongyang, le président sud-coréen Moon Jae-in poursuit sa stratégie des "9 ponts".
Pom-pom girls, "Army of beauties", soeur de Kim et invitation de Moon à Pyongyang, la Corée du Nord cherche à diviser Séoul et Washington.
Kim Jong-un et Moon Jae-un devraient se rencontrer en avril. La stratégie de Pyongyang peut-elle conduire à la suspension des sanctions ?
Pom-pom girls, "Army of beauties", soeur de Kim et invitation de Moon à Pyongyang, la Corée du Nord cherche à diviser Séoul et Washington.
Pom-pom girls, "Army of beauties", soeur de Kim et invitation de Moon à Pyongyang, la Corée du Nord cherche à diviser Séoul et Washington.
Les JO d'hiver vont s'ouvrir à Pyeongchang sous le signe du rapprochement entre les deux Corées. Quid de la réunification ? Entretien avec Eva John.
La "trêve olympique" proposée par la Corée du Nord ne sera-t-elle qu'un leurre de plus pour éviter l'isolement sans stopper son programme nucléaire ?
Que retenir de la tournée en Asie du Président américain Donald Trump, notamment suite à sa seconde escale en Corée du Sud ?
Avec la visite prochaine du Président américain en Corée du Sud, le calendrier des semaines à venir s'annonce dense sur la péninsule coréenne.
Ce sont de gigantesques conglomérats qui dominent l'économie sud-coréenne. Retour en 10 points sur l'émergence, la consécration et les excès des Chaebols.
Toujours pas de rapprochement en vue. Après les nouvelles sanctions onusiennes, la Corée du Nord ne veut pas entamer de discussion pacifique avec le Sud.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a présenté aujourd'hui un large éventail de mesures politiques destinées à reformer en profondeur son pays.
La Corée du Sud propose à Pyongyang la tenue d’un sommet militaire commun et la reprise des visites de familles, deux politiques interrompues depuis 2015.