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L'économie chinoise reprend, mais cette reprise dépendra notamment de l'impact du plan de relance décidé par Pékin fin mai. D'autant que les Chinois ne sont pas prêts à consommer tous azimuts.
À la différence de la Chine, la Corée du Sud engage une relance verte pour se sortir de la crise du coronavirus. Le plan de l'administration Moon Jae-in prévoit des financements pour les énergies renouvelables, les véhicules électriques, les batteries et le logement, l’introduction d’une taxe carbone et la disparition progressive des financements de centrales à charbon par les banques publiques. Des centres régionaux de transition énergétique seront créés pour faciliter le réemploi des salariés et le gouvernement a confirmé son intention d’atteindre un objectif net de zéro émission de gaz à effet de serre en 2050.
Quel est l'impact de l'épidémie de Covid-19 sur l'économie chinoise ? La Chine va-t-elle rapidement sortir de la récession ? L'État peut-il dynamiser la demande ?
Selon des sondages sortie des urnes en Inde, la coalition de Narendra Modi remporterait la majorité au parlement. Quel est son bilan économique ? Quels sont les défis qui l'attendent ? Les explications d'Isabelle Joumard, économiste sénior spécialiste de l'Inde à l'OCDE.[/asl-article-chapo]
PIB par habitant, faiblesse des migrations, espérance de vie... Les disparités entre les divers États de l'Inde sont des enjeux essentiels pour les élections générales qui débutent le 11 avril prochain.
De multiples polémiques affectent les principales statistiques économiques de l'Inde. Leur publication est devenue très politique. De quoi compliquer sérieusement les analyses objectives des performances du gouvernement de Narendra Modi. Un débat gênant à l'approche des élections dans le pays.
Cinq ans après la victoire électorale de Modi en Inde, le soutien des classes moyennes pour les législatives d'avril et de mai prochains est plus qu'incertain. En témoignent les récents revers aux élections locales.
En Inde, quelque 850 millions d'électeurs iront aux urnes d'avril à mai prochains. Le Premier ministre Narendra Modi joue son maintien au pouvoir. En 2014, il avait promis dix millions d'emplois par an. Cinq ans plus tard, le chômage augmente.
En moins d'une génération, la Thaïlande est passée de la catégorie des pays vieillissants à celle des pays âgés. La baisse de la natalité et l'allongement de l'espérance de vie, de 61 ans en 1980 à 72 ans en 2015, pourraient déclencher un "tsunami gris", comme dans d'autres pays asiatiques.
D'après le dernier rapport du FMI, la Chine représente 40 % de la croissance mondiale et l’Asie 66 % (dont 20 % pour l’Inde 6 % pour l’ASEAN).
La mondialisation s'essouffle, le commerce mondial s'est contracté en 2015 au premier semestre 2016. L'Asie en sortira-t-elle perdante ?
Les deux séismes de Kyushu à la mi-avril remettent en cause le modèle des chaînes de production fragmentées dans divers pays.
Alors que la Chine mise de nouveau sur sa croissance, l'ASEAN et l'Inde sont en pointe. Attention aux sorties illicites de capitaux.
L'Inde a beau afficher la plus forte croissance des grandes économies émergentes, ses progrès réels s’annoncent lents et chaotiques.
La revue de presse en Asie dans les médias asiatiques et internationaux du 4 décembre 2015
La revue de presse économique en Asie dans les médias asiatiques et internationaux du 30 octobre 2015
Enjeu crucial pour Narendra Modi, les élections régionales ont commencé le 12 octobre par le Bihar, Etat pauvre et à l’industrie faible.
Les prévisions de croissance de l’ensemble des pays asiatiques ont été revues à la baisse. Comment expliquer cette conjoncture ?
La croissance du "petit dragon" vietnamien n’est plus à deux chiffres. Il lui faut une transformation économique, structurelle et culturelle.
Retour sur les prévisions à moyen terme présentées par le FMI, la Banque Mondiale et la Banque Asiatique de Développement.
Comment jauger le poids de l’Asie ?