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Affichant sa solidarité avec l’Ukraine dans le contexte de la guerre actuelle, notre partenaire, l'Institut français de recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE), a organisé le 28 avril une conférence en hybride à l'auditorium de l'Inalco, pour exposer les réactions des différents pays est-asiatiques face à ce conflit.
À ne pas manquer ! Asialyst, l'Inalco et Sciences Po coorganisent le mercredi 18 mai à 18h30 une conférence pour comprendre comprendre l'impact de la guerre en Ukraine sur la Chine, ses projets sur Taïwan, ses relations avec la Russie et l’Occident. Le débat sera aussi diffusé en direct sur YouTube Live. Inscription gratuite mais obligatoire, en présentiel ou à distance.
À ne pas manquer ! Asialyst et l'Inalco coorganisent le mercredi 20 avril à 18h30 une conférence pour comprendre l'impact de la guerre en Ukraine sur le positionnement de la Russie de Vladimir Poutine en Asie-Pacifique. Le débat sera aussi diffusé en direct sur YouTube Live. Inscription gratuite mais obligatoire, en présentiel ou à distance.
Quelle qu'en soit l'issue, l’invasion russe de l’Ukraine a rendu plus probable n’importe quel autre mouvement militaire dans le monde et particulièrement en Asie. Un tabou est tombé : la paix n’est plus sacrée et l’usage de la force trouve en elle-même sa justification. Le fait que la Chine ait voté un budget militaire dont la croissance sur un an sera supérieure à celle de son PIB semble suggérer que Pékin se prépare.
Alors qu’il y a peu les autorités chinoises semblaient soutenir le président Vladimir Poutine, la Chine paraît aujourd’hui prendre progressivement ses distances avec la Russie en guerre contre l’Ukraine. Pékin n'ignore pas le risque de devenir à son tour la cible de sanctions économiques et financières potentiellement dévastatrices pour son économie.
À ne pas manquer ! L'Institut français de recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE) vous propose une rencontre en forme hybride le lundi 28 mars sur "la Guerre en Ukraine vue depuis l'Asie" de 13h30 à 15h30, à l'auditorium de l'Inalco, 65 rue de Grands Moulins, Paris XIIIème. Inscription gratuite mais obligatoire.
L'invasion russe de l'Ukraine est à la croisée des chemins : les difficultés sur le terrain combinées aux sanctions risquent de conduire la Russie de Vladimir Poutine dans une guerre à outrance. L'attaque de la centrale nucléaire de Zaporijjia le démontre. Or si l’armée russe va probablement réussir à prendre le contrôle de ce pays, l'homme fort du Kremlin se retrouve aujourd’hui totalement isolé en Occident. Un retournement que la Russie n’a jamais connu depuis des décennies et un revers stratégique dont le président chinois Xi Jinping va devoir tirer les leçons.
Ce vendredi 19 juin, la Chine a libéré dix soldats indiens capturés après l’accrochage meurtrier dans l’Himalaya. Le fruit de discussions entre les deux pays destinées à calmer les tensions, vives après un corps-à-corps d’une extrême violence. Malgré le choc des nationalismes, un embrasement entre les deux puissances du continent asiatique est peu probable à cause de son coût économique, souligne le chercheur Jean-Yves Heurtebise dans cette tribune.
La Syrie abrite depuis 2014 un contingent de jihadistes ouïghours. Ils font partie des bataillons étrangers connus pour leur engagement dans les combats au nord-ouest de la Syrie. Quelle est leur histoire ? Quel est leur avenir ? Entretien avec Rémi Castets, maître de conférences à l'université Bordeaux Montaigne.
La météo a souvent bon dos dans la débâcle. Elle permet aussi de renforcer les croyances dans des esprits protecteurs. Ce ne sont pourtant ni les typhons, ni les dieux qui expliquent les défaites des troupes du grand Khan lors des tentatives d'invasion du Japon en 1274 et 1281 affirme l'historien japonais Hideo Hattori
64 ans après la fin de la guerre de Corée, comment expliquer que la péninsule soit toujours coupée en deux ? Réponses en 10 points.
Le débat divisait l’opinion : Islamabad a préféré ne pas rejoindre les Saoudiens dans l’intervention contre les rebelles chiites houthis.