A Propos
Éditorial

Une résolution pour l'année du buffle ? Soutenez Asialyst !

C’est la deuxième Fête du Printemps en temps de Covid-19. À écouter les maîtres fengshui, l’année du buffle de métal promet l’espoir d’une sortie de crise : du mouvement – comprenez : moins de confinement -, de l’énergie et du travail retrouvé. L’an dernier, le premier jour de l’année du Rat tombait le 25 janvier, soit 48 heures après le confinement de Wuhan. La Chine, l’Asie et bientôt le monde entier entraient dans une période inédite où les États allaient décider, à des degrés divers, de sacrifier l’économie au profit de la lutte contre la pandémie. Nul ne pouvait imaginer que douze mois plus tard, nous ne serions toujours pas sortis de la crise sanitaire. C’est dans cette période critique sans précédent qu’Asialyst a besoin de vous.
Depuis ce vendredi 12 février, premier jour de l’année du buffle de métal, et pour quinze jours jusqu’à la fin des festivités du Nouvel an lunaire, une petite fenêtre apparaît dès que vous atterrissez sur la page d’accueil d’Asialyst : c’est un appel au don pour nous soutenir. Pourquoi vous solliciter maintenant ?
En 2020, Asialyst vous a offert un suivi pays par pays de la crise du coronavirus en Asie. Nous avons mis un point d’honneur à expliquer pourquoi des gouvernements comme la Corée du Sud, le Vietnam, Taïwan ou la Thaïlande avaient su être plus performants que les États européens en particulier. Nous sommes longuement revenus sur la gestion chinoise du coronavirus, les erreurs du début de la crise puis la « méthode de Wuhan ».
Nous continuerons en 2021 à suivre la façon dont l’Asie tente de tourner le dos définitivement à la crise sanitaire et mettrons un accent particulier sur la course aux vaccins. Mais nous n’oublions pas l’autre actualité dominante dans la région : la confrontation sino-américaine en Indo-Pacifique et son nouvel avatar avec l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche. Nous suivons bien sûr les conséquences du coup d’État en Birmanie.
En parallèle, Asialyst poursuit ses « obsessions » : notre série sur la Chine, superpuissance maritime qui nous mènera bientôt dans les mers de Chine ; notre chronique de la vie politique en Chine sous Xi Jinping avec Alex Payette ; ou encore notre rubrique BD déjà culte, « l’Asie dessinée » avec Patrick de Jacquelot.
Lancé en 2015, Asialyst est depuis septembre 2018 géré par une équipe composée à 100 % de bénévoles, réunis dans l’association « Les Amis d’Asialyst ». Le site est ainsi devenu entièrement gratuit et donc accessible à tous. Notre seul but est de partager avec vous, où que vous soyez, la connaissance de l’Asie d’hier et d’aujourd’hui. Pour à la fois compléter nos publications et échanger plus directement avec vous, nous organisons des conférences gratuites, en présentiel ou à distance (voir nos podcasts et notre programme 2021), afin de mieux appréhender ensemble les grandes crises et les constantes mutations des pays asiatiques.
S’il y a un moment pour soutenir une information sur l’Asie à la fois gratuite, indépendante et nuancée, c’est maintenant. Chaque contribution, modeste ou importante, renforce notre travail et donc l’avenir d’Asialyst, qui est désormais votre bien commun. En quelques clics, faîtes un don à Asialyst à partir d’un euro.
Merci pour votre soutien et excellente année du buffle de métal à toutes et à tous !
Joris Zylberman, cofondateur et rédacteur en chef d’Asialyst

Soutenez-nous !

Asialyst est conçu par une équipe composée à 100 % de bénévoles et grâce à un réseau de contributeurs en Asie ou ailleurs, journalistes, experts, universitaires, consultants ou anciens diplomates... Notre seul but : partager la connaissance de l'Asie au plus large public.

Faire un don
A propos de l'auteur
Joris Zylberman est directeur de la publication et rédacteur en chef d'Asialyst. Il est aussi chef adjoint du service international de RFI. Ancien correspondant à Pékin et Shanghai pour RFI et France 24 (2005-2013), il est co-auteur des Nouveaux Communistes chinois (avec Mathieu Duchâtel, Armand Colin, 2012) et co-réalisateur du documentaire “La Chine et nous : 50 ans de passion” (avec Olivier Horn, France 3, 2013).