

Votre média sur l'Asie
Comprendre l'Asie, c'est aussi mesurer en un vol d'avion l'histoire parcourue. Notre chroniqueur Jacques Bekaert est revenu dans la capitale cambodgienne ces dernières semaines. Une expérience d'une facilité déconcertante pour ce journaliste qui avait dû attendre près d'une décennie avant d'avoir son premier sésame pour Phnom Penh. Récit.
Monuments incontournables ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Témoins d'un pan d'histoire coloniale, de sa splendeur et de sa décadence, ils furent parfois un carrefour d'espions durant la guerre froide. Jacques Bekaert nous emmène cette fois au Sukhalai, un hôtel de Phnom Penh aujourd'hui détruit.
Installé à Bangkok depuis la fin des années 1970, l'ancien journaliste Jacques Bekaert a sillonné l'Asie du Sud-Est. En 1983, il obtient un précieux visa pour venir en reportage au Cambodge afin de couvrir le retrait des troupes vietnamiennes.
Monuments ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Aujourd'hui, le Raffles à Singapour.
Escale accidentelle dans un hôtel sans nom au Cambodge : l'hôtel appartient à Ieng Sary, ex-ministre des Affaires étrangères et "frère numéro trois" des Khmers rouges. L'un de ces établissement utilisés pour emprisonner, interroger et torturer.
Monuments ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Aujourd'hui, le Dusit Thani à Bangkok.
Monuments ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Aujourd'hui, le Metropole à Hanoï.
Monuments ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Aujourd'hui, l'Oriental à Bangkok.
Monuments ou palaces surannés, l'Asie du Sud-Est ne se comprend pas tout à fait sans ses hôtels mythiques. Aujourd'hui, le Majestic à Saïgon.