Itadakimasu Osaka !

Le Glico est l’emblème de la rue Dōtonbori. Mise en place en 1935, le Glico représente un athlète sur une piste bleue symbole du confiseur Ezaki Glico L’enseigne a été modifiée plusieurs fois jusqu’à trouver ici sa version finale avec un éclairage LED. (Crédit : Amaury Baradon)

Les échoppes de takoyaki comme celle-ci à Dōtonbori sont prises d’assaut le soir venu par des touristes et des habitués. (Crédit : Amaury Baradon)

La préparation des takoyaki exige minutie et doigté. (Crédit : Amaury Baradon)

Les touristes et les locaux raffolent des takoyaki. Nombreux sont ceux qui se pressent le soir à Dōtonbori pour en déguster. (Crédit : Amaury Baradon)

Shinsekai est un quartier hors du commun à Osaka. Haut en couleur il a vu le jour en 1912. On s’y rend pour son ambiance kitch. Sa grande tour centrale Tsutenkaku a été érigée en 1912 avec pour inspiration la Tour Eiffel. (Crédit : Amaury Baradon)

Chez Jan-Jan on propose une autre spécialité culinaire d’Osaka : des kushikatsu. Ce sont des brochettes panées. On voit ici le cuisinier préparer les ingrédients dans son étroite cuisine, typiquement nippone (Crédit : Audrey Ronfaut)

Après une préparation minutieuse, voici les kushikatsu prêts à la dégustation. (Crédit : Audrey Ronfaut)

La fondue de fugu – le techiri – est une autre spécialité appétissante d’Osaka. (Crédit : Amaury Baradon)

A partir de 5000 yens, on peut déguster le techiri. Le tout est à accompagner de saké ! (Crédit : Amaury Baradon)

Voici la dernière des préparations d’Osaka : l’okonomiyaki. Cette préparation se présente sur un teppan (plaque chauffante). Et petit plus d’Osaka, ici on mélange tout, du poireau et des crevettes. (Crédit : Amaury Baradon)

A la fin de la préparation de l’okonomiyaki, on ajoute des copeaux de bonites séchées et de la sauce (Crédit : Amaury Baradon)

Dans ce restaurant situé dans le quartier de Temma, les clients préparent leurs okonomiyaki selon leurs goûts. (Crédit : Amaury Baradon)