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Virage diplomatique américain sur la mer de Chine du Sud, Huawei banni du Royaume-Uni, les Européens à l'offensive sur Hong Kong... Les indicateurs ont franchement tourné au rouge dans les relations entre la Chine et plusieurs pays occidentaux au cours de la semaine écoulée.
L'épidémie de coronavirus est plus grave que celle du SRAS en 2003. S'il est trop tôt pour évaluer ses conséquences sur l'économie chinoise, on prend moins de risque en prévoyant que son impact sur l'économie mondiale sera plus élevé que celui du SRAS.
Washington et Pékin ont signé une trêve sur le front commercial. Que contient "l'accord de phase 1" ? Aura-t-il une suite ? Retour sur l'évolution du commerce et des investissements entre les deux pays au cours des dix-huit mois d'hostilités.
Après une nouvelle tweeto-diplomatie contradictoire, Donald Trump et son administration ont accordé une trêve aux Chinois dans la guerre commerciale. Un geste après la visite vendredi 11 octobre à Washington de Liu He, le vice-premier ministre et principal négociateur de Xi Jinping. Mais l'accord intervenu n'est que partiel et il ne signifie pas une accalmie sur le front de la guerre technologique, bien au contraire. D'autant que les Américains veulent maintenant ouvrir un nouveau front financier avec la Chine.
Ces quarante dernières années, l'émergence économique de la Chine a fait craindre un véritable raz-de-marée. Ses produits "envahissent les marchés", ses entreprises "rachètent le monde" et l'empire du milieu devient le "banquier du monde". Sur ces trois fronts, la vague chinoise est en plein reflux.
Pom-pom girls, "Army of beauties", soeur de Kim et invitation de Moon à Pyongyang, la Corée du Nord cherche à diviser Séoul et Washington.