Inde : au Pendjab, la mémoire sanglante de l'indépendantisme sikh
Contexte
Alors que la question cachemirie ou les relations communautaires entre hindous et musulmans font l’objet d’un traitement médiatique continu, les soubresauts de décennies de violences au Pendjab sont vus comme un lointain souvenir dans une Inde désireuse de marcher à pas de géants vers le progrès et le développement. Le calme semble être retombé sur la région des cinq fleuves (Beas, Ravi, Sutlej, Chennab, Jhelum – où le mot « Pendjab » trouve son origine en sanskrit). Mais d’Amritsar à Patiala, la mémoire de l’insurrection sikhe fait encore partie intégrante de l’imaginaire collectif, les échos de 1984 résonnant au sein d’une société pendjabie en mal de mythes. Plus d’une génération après les événements, le recul historique permet l’apparition de sources et témoignages qui viennent affiner le récit de cette période tourmentée, rendant possible une nouvelle lecture d’une décennie noire au Pendjab.
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