Hong Kong : après la victoire de Carrie Lam, quel avenir pour la société civile ?
Mais personne n’entend baisser les bras, comme l’affirme le groupe Demosisto (de l’ancien leader Joshua Wong), qui n’entend pas se plier à la convocation des autorités et appelle dans un communiqué de presse à de « nouvelles manifestations ». Pour Shiu Ka-Chun, un ancien membre de la Fédération des étudiants, interrogé par le South China Morning Post, l’analyse est amère : « D’un côté, il a été dit que la réconciliation entre les différentes opinions politiques était nécessaire et qu’il fallait que chaque camp se rassemble. Mais en réalité, il s’avère que la méthode utilisée pour se rassembler n’est rien de moins qu' »un nettoyage politique ». »
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