Le Pakistan "doit se réformer" pour se faire entendre sur le Cachemire
« Personne ne nous écoutera tant que nous ne nous corrigerons pas », explique un ancien ambassadeur pakistanais aux Etats-Unis avant d’ajouter : « Nous devons nous montrer sérieux et dignes de confiance. » D’après lui, la communauté internationale ne se fait pas suffisamment l’écho de l’enjeu cachemiri non pas par « hostilité » au Cachemire lui-même, mais au Pakistan, considéré comme « le principal porte-parole de la cause cachemirie ». Parmi les principales recommandations de la table ronde, on trouve : une meilleure implication des jeunes Pakistanais sur le dossier du Cachemire, une plus vaste recherche d’interlocuteurs en Inde (c’est-à-dire au-delà du gouvernement de New Delhi), ainsi qu’une utilisation plus poussée des réseaux sociaux pour couvrir les événements. Pour mieux comprendre la situation au Cachemire, relire notre temps fort en cartes et infographies : Cachemire : l’éternel statu quo ?.
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