Attentat de Lahore, dissidence chinoise et ministres en chef birmans
Attentat de Lahore
Lundi 28 mars. Les accusations de « deux poids, deux mesures » déferlent déjà sur les réseaux sociaux. Pourquoi les medias internationaux couvrent-ils les attaques de Bruxelles avec plus de profondeur et de constance que celle de Lahore ? Si la différence de traitement de l’actualité tient en partie à des questions logistiques, Martin Belam – rédacteur en chef « social et nouveaux formats » au Guardian – explique sur Medium que cela répond également à la demande – en fait, à la consommation – des internautes. Quand bien même les articles sur les attentats de Lahore ont fait la Une du site du quotidien britannique hier, ils ne figurent pas parmi les plus lus. Un manque d’empathie lié à un manque de connaissance du pays ? Certainement. Et c’est là l’une des raisons d’être d’Asialyst : permettre de mieux comprendre l’Asie et nous rendre plus familiers avec l’histoire, les enjeux et l’actualité des pays qui la composent.
Mardi 29 mars. Notre revue de presse recense, dans un bloc spécial « attentats de Lahore », une sélection d’articles publiés dans le sous-continent indien. Pour relayer une couverture médiatique qui, là-bas, ne s’affaiblit pas.
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