Bangladesh : la démocratie est-elle en danger ?
Aux sources de cet immobilisme : un manque de moyens, certes, mais surtout un manque de volonté, souligne Dawn. Alors que les attaques sont revendiquées par les branches locales d’Al-Qaida et de Daech, les autorités de Dacca nient leur présence sur le sol bangladais et préfèrent jeter l’opprobre sur le Bangladesh Nationalist Party, principal parti d’opposition, et sur son allié islamiste, le Jamaat-e-Islami. Tout cela fragilise « la tradition laïque et démocratique du Bangladesh indépendant », conclut Dawn.
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