Chine : le plan de surveillance des familles des membres du PCC étendu
Selon les médias chinois officiels, ce programme n’est qu’une « corde » supplémentaire à « l’arc » des mesures anti-corruption de Xi Jinping. En effet, selon les normes actuellement en vigueur à Shanghaï, les « épouses des membres haut-placés du PCC n’ont pas le droit d’exercer une activité tant dans des entreprises privées que dans des entreprises étrangères » ; de même que les enfants des dits membres qui – s’ils peuvent s’engager dans des activités lucratives – ne peuvent le faire dans les domaines de compétences de leurs parents. De plus, toujours en accord avec ce programme pilote, chaque membre du PCC doit signaler toutes ses activités annexes, ainsi que celles de ses proches à la commission ad hoc.
Selon l’agence de presse Xinhua, ces nouvelles règles devraient bientôt « être institutionnalisées et devenir à long terme une pratique « normale » ».
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