Pakistan : le chef de l'opposition lui aussi menacé par le Panamagate
Imran Khan avait notamment déclaré que Nawaz Sharif était explicitement nommé dans les documents divulgués par les journalistes et qu’il détenait une société offshore à son nom. De même, il avait accusé l’équipe du Premier ministre d’avoir fait pression sur la Cour suprême, en évoquant l’enjeu de la validité juridique des pétitions. En réalité, selon le quotidien, ce serait la Cour suprême elle-même qui aurait soulevé cette question, et Nawaz Sharif souhaité « ne pas entraver le cours de la justice ».
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