Indonésie : la police et l'armée, "principaux obstacles" à la justice en Papouasie
Luhut Pandjaitan, le ministre indonésien chargé de la Coordination des Affaires politiques, judiciaires et sécuritaires, a affirmé que le gouvernement pourrait résoudre 12 cas de violation des droits de l’homme avant la fin de l’année. Il coopéra de façon concordante avec la police nationale et le Komnas HAM. Ce n’est pas suffisant pour Feri Kusuma, un porte-parole de la commission pour les personnes disparues et victimes de violences (Kontras). Ces cas devraient être traités par « des tribunaux spécialement créés pour l’affaire » et « légitimés par un décret présidentiel ».
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