La Chine n'est plus le paradis des entreprises étrangères
Ainsi, malgré des progrès en matière de propriété intellectuelle, les entreprises étrangères font les frais du protectionnisme chinois : difficulté à évoluer sur le marché intérieur, transferts forcés de technologie, renforcement de la censure sur internet. Elles se retiennent d’ailleurs d’exprimer publiquement leur mécontentement, préférant s’adresser à leur ambassade ou aux lobbies, afin d’éviter des « représailles » officielles. Lapidairement, le journaliste et homme d’affaires américain James McGregor, qui a passé plus de vingt-cinq ans en Chine, résume : « Les entrepreneurs étrangers sentent que leur âge d’or connaît ses derniers jours dans le pays. »
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