Cambodge : "Je n'ai pas acheté de likes sur Facebook", dément Hun Sen

La revue de presse au Cambodge dans les médias asiatiques et internationaux du 18 mars 2016
Phnom Penh Post – Las ! Le Premier ministre cambodgien défend sa côte de popularité « chèrement acquise » sur les réseaux sociaux. Le Phnom Penh Post avait révélé la semaine dernière qu’une majorité de mentions « j’aime » provenaient de l’étranger, dont quelque 250 000 d’Inde. « Pourquoi n’êtes-vous pas content de cette nouvelle ? », a demandé Hun Sen lors d’une cérémonie de remise de diplômes à Phnom Penh, se réjouissant de son prestige international. Mais l’accusation d’achat des mentions « j’aime » provient de son ancien rival Sam Rainsy, président du Parti du sauvetage national du Cambodge. Selon lui, il s’agit d’une preuve que le président actuel triche sur sa popularité, comme il avait aussi triché lors des élections présidentielles en 2013. D’après les données fournies par le site socialbakers.com, 56,3 % des fans du Premier ministre sont cambodgiens.

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