John Kerry en Chine, corruption en Malaisie et crise politique locale en Inde
Asie du Nord-Est
A Pékin, John Kerry insiste sur la mer de Chine du Sud et la Corée du Nord
Taïwan : Ma Ying-jeou se rendra dans les Spratleys
L’archipel des Spratleys est revendiqué entièrement ou partiellement par 6 Etats (Chine, Vietnam, Malaisie, Brunei, Philippines et Taïwan). Pékin y mène une politique d’affirmation de souveraineté de plus en plus assertive, notamment via la construction d’ilôts artificiels et d’infrastructures de transport civilo-militaires. C’est pour cela que les Etats-Unis ont exprimé leur mécontentement suite à l’annonce du porte-parole présidentiel taïwanais. Washington évoque une visite « particulièrement malvenue », relève le Straits Times. De son côté, la présidente élue Tsai Ing-wen a refusé d’inclure un membre de son parti dans la délégation.
Chine : Georges Soros, nouveau bouc-émissaire des autorités
Chine : le delta du Yangtsé offre une entrée sans visa de six jours
JO de Tokyo : le designer belge renonce au procès
Asie du Sud-Est
Malaisie : le scandale impliquant le Premier ministre réexaminé par l’agence anti-corruption
Indonésie : le gouvernement accusé de légiférer en fonction du Conseil des Oulémas
Pour les défenseurs des droits de l’homme, sur ce sujet, le gouvernement de l’archipel devrait s’appuyer sur la Constitution de 1945, et non gouverner en fonction des décisions du MUI. En effet, le Gafatar ne s’est jamais déclaré comme une organisation religieuse, et encore moins musulmane, d’après Bonar Tior Naipospos de l’Institut Setara. Le MUI, organisation de la société civile, est devenu une institution semi-gouvernement, dénonce Bonar. Il a maintenant le feu vert pour imposer sa vision dans les affaires publiques, et affaiblir les voix des minorités. Il est normal que le gouvernement prenne en compte l’avis du MUI, concède le président d’Human Rights Working Group (HRWG), Rafendi Djamin, mais pas qu’il l’utilise comme base pour légiférer.
Thaïlande : le phénomène des anges-poupées prend de l’ampleur
La Thaïlande est dirigée par une junte depuis le coup d’Etat de mai 2014, et les généraux ont du mal à sortir le pays de la crise. Le pays avait déjà connu un phénomène similaire après un coup d’Etat en 2006, quand de nombreuses personnes se sont tournées vers les amulettes et les porte-bonheur pour devenir riches.
Asie du Sud
Inde : les conséquences du « President’s rule » en Arunachal Pradesh
Inde : enquête officielle à Delhi sur les violences faites aux femmes
Séisme de magnitude 4,0 au Pakistan
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