Silence birman, terroristes malaisiens et mannequins chinois
Le silence assourdissant d’Aung San Suu Kyi sur les Rohingya ?
Malaisie : Enlèvement et braquages au programme du groupe Etat Islamique
La République d’Indonésie n’est pas une “nation islamique”
Indonésie : le gouvernement montre ses muscles
Jeux interdits au prochain ChinaJoy de Shanghai
Pour celles qui oseront s’afficher en bikini par exemple, l’agence qui leur a demandé de se produire ainsi en public devra verser 5000 yuans (un peu plus de 700 euros). Même chose pour une jupe, un short ou un pantalon qui descend de plus de deux centimètres en-dessous du nombril. Les garçons seront également à l’amende s’ils montrent « leurs hanches ». Quant à celles et ceux qui « assument des poses vulgaires » ou prennent part à une « danse du poteau » ou dans « une cage », la douloureuse sera doublée pour atteindre 10 000 yuans, soit près de 1500 euros.
Les féministes et les militants des droits des mannequins se féliciteront de cette décision qui limite la surenchère exhibitionniste de leurs employeurs. Certains internautes en revanche voient la chose d’un mauvais œil : « A quoi bon se rendre au ChinaJoy, s’il n’y a plus de sein au catalogue ? », s’interroge l’un d’entre eux, cité par le journal. Cette annonce fait suite à l’interdiction des célèbres « chemo » au salon de l’auto de Shanghai en avril dernier, littéralement les « mannequins pour voitures » souvent court-vêtues.
Inde : Maman cherche mari pour son fils homosexuel
La rédaction d’Asialyst