

Votre média sur l'Asie
Trump a créé la surprise en évoquant un retour éventuel des États-Unis dans le TPP. S'il confirme, pourrait-il revenir si facilement ? Rien n'est moins sûr.
La Chine aura-t-elle les moyens de ses ambitions dans l'intelligence artificielle ? C'est le thème de notre conférence avec l'IHEST le 12 mars à 18h30.
A travers le "Grand Jeu" en Afghanistan, la Russie se rapproche de l'Iran, du Pakistan et de la Chine pour contrer l'Amérique de Trump.
Les Taliban et "l'État islamique" alliés en Afghanistan ? Voilà le cauchemar redouté à Moscou qui urge depuis longtemps un dialogue avec Kaboul.
La guerre commerciale prophétisée pour 2017 entre la Chine et les Etats-Unis n'a pas eu lieu. Mais les nuages s'accumulent.
Si Kim Jong-un a proposé d'envoyer des athlètes de Corée du Nord aux JO de Pyongcheang, c'est sans doute pour mieux brouiller l'alliance Séoul-Washington.
A côté d'une communication et d'une projection de puissance incontestables, quelles sont aujourd'hui les traductions concrètes du projet de Xi Jinping ?
Entre le rêve d'Osaka de Lawrence Ho, tycoon de Macao, et les plans des magnats de Las Vegas à Tokyo, qui réussira à implanter le premier casino au Japon ?
La Chine a su utiliser le retrait américain de l’Accord de Paris pour nouer de nouvelles alliances avec les pays en développement pendant la COP 23.
Après la dissolution du principal parti d'opposition le 16 novembre, les pays occidentaux menacent le Cambodge de sanctions financières.
Avec le retrait de Trump du TPP, l’Asie s’organise sans les États-Unis. Au sommet de l'APEC, les pays de la région ont tenté de finaliser un "TPP moins un".
Que retenir de la tournée en Asie du Président américain Donald Trump, notamment suite à sa seconde escale en Corée du Sud ?
Cet automne, le Pakistan est de nouveau, et pour de tristes raisons, sur le devant des scènes régionale et internationale.
Seuls un embargo chinois sur le pétrole et une Corée du Sud nucléarisée peuvent faire bouger Pyongyang, selon Cheong Seong-chang, conseiller de Moon Jae-in.
Toujours plus confiant, le sourire affiché par Kim Jong-un se consolide alors que rien ne semble arrêter ses ambitions nucléaires.
Ce mardi 29 août, le Japon a été réveillé par un missile balistique nord-coréen qui a survolé l'île d'Hokkaido. C'est la cinquième fois depuis 1998.
Si le risque d'une nouvelle montée des tensions existe toujours, certains experts voient dans les exercices militaires américains des signes d'apaisement.
Le monde s'était habitué aux menaces nord-coréennes de feu nucléaire. Il croyait pouvoir se reposer sur la rationalité américaine. Avec Trump, c'est fini.
Si rien ne change avec Pyongyang, de nouvelles tensions sont à prévoir lors des prochains exercices militaires américains près de la péninsule coréenne.
La Chine s'interpose dans la guerre psychologique entre Washington et Pyongyang. Elle protègerait la Corée du Nord en cas d'attaque américaine.
Sans peur du "feu et de la colère" promis par Trump, la Corée du Nord annonce un plan d'attaque aux missiles balistiques contre la base américaine de Guam.
"Le feu et la colère." Trump a choisi la menace contre Pyongyang pour pousser Pékin à réagir, alors que la Corée du Nord a menacé de bombarder Guam.
Souffler le chaud et le froid. Après les sanctions, le secrétaire d’État américain offre le dialogue contre l'arrêt des tests de missile nord-coréens.
Toujours pas de rapprochement en vue. Après les nouvelles sanctions onusiennes, la Corée du Nord ne veut pas entamer de discussion pacifique avec le Sud.
Les saisons se suivent mais ne changent pas la situation actuelle en Afghanistan dont l'état général demeure préoccupant.
Depuis l'arrivée au pouvoir de la présidente Tsai Ing-wen, la Chine ressert le nœud sur Taïwan.
La visite du président sud-coréen Moon aux Etats-Unis les 29 et 30 juin dernier a fait naître des inquiétudes sur les relations entre Séoul et Washington.
La vente américaine à Taipei intervient une semaine avant le G20 et à la veille des 20 ans de la rétrocession de Hong Kong à la Chine.
Ce mardi 27 juin, le président sud-coréen s’envole vers Washington pour rencontrer Donald Trump lors d’un sommet bilatéral jeudi 29 et vendredi 30 juin.
Pyongyang se montre à nouveau prêt à négocier mais à condition que les États-Unis et la Corée du Sud stoppent leurs exercices militaires conjoints.